C'est la chanson que nous chantons à la chorale.Un bijou à chanter en chorale et à écouter.Je vous met les paroles ,pour que vous puissiez bien vous imbiber des répliques.Cette parodie ou satire (comme vous voulez) semble avoir été écrite aujourd'hui.N'oubliez pas que cette chanson a été créée en 1977.
Les sopranes font très bien les poules!!!!!!!!!!!!!!
Indiscutablement la résonance de nos cordes vocales portent notre corps vers le bien être.Et quand on chante,quelque chose s'exprime que l'on n'entend pas d'ordinaire et j'ai vraiment l'impression d'entendre chanter quelqu'un d'autre car nous chantons avec notre voix naturelle ce qui n'est pas forcément le cas quand nous parlons car cette voix parlée nous l'avons façonné tout au long de notre adolescence.
Les neurologues nous ont appris que le fait de chanter nous fait jouir d'exister sans en attendre une autre récompense.En somme chanter c'est comme faire du bénévolat!!!
Alors chantez maintenant, que vous soyez cigale ou fourmi.
Allez,un petit coup de "poulailler song";écoutez ,lisez et laissez-vous aller......
{Refrain:}
Dans les poulaillers d'acajou,
Les belles basses-cours à bijoux,
On entend la conversation
D'la volaille qui fait l'opinion.
Ils disent :
"On peut pas être gentils tout le temps.
On peut pas aimer tous les gens.
Y a une sélection. C'est normal.
On lit pas tous le même journal,
Mais comprenez-moi : c'est une migraine,
Tous ces campeurs sous mes persiennes.
Mais comprenez-moi : c'est dur à voir.
Quels sont ces gens sur mon plongeoir ?"
{Refrain}
"On peut pas aimer tout Paris.
N'est-ce pas y a des endroits la nuit
Où les peaux qui vous font la peau
Sont plus bronzées que nos p'tits poulbots ?
Mais comprenez-moi : la djellaba,
C'est pas ce qui faut sous nos climats.
Mais comprenez-moi : à Rochechouart,
Y a des taxis qui ont peur du noir."
{Refrain}
"Que font ces jeunes, assis par terre,
Habillés comme des traîne-misère.
On dirait qu'ils n'aiment pas le travail.
Ça nous prépare une belle pagaille.
Mais comprenez-moi : c'est inquiétant.
Nous vivons des temps décadents.
Mais comprenez-moi : le respect se perd
Dans les usines de mon grand-père."
Mais comprenez-moi...