Si nous vivions bien autrefois sans les OGM , cela peut être toujours le cas. Mais nous ne pouvons les ignorer et le tout est maintenant de savoir s'ils apportent plus d'ennuis à l'humanité qu'ils ne lui apportent de solutions.Il faut identifier les risques pour chaque type d'OGM.La contamination des plantes sauvages et des cultures traditionnelle (comme au Canada) est à craindre.Il faut penser également sur la possibilité de toxicité sur la faune environnantes (insectes) une modification de la microflore du sol , une résistance des organismes ravageurs ou de plantes envahissantes.L'autre préoccupation concerne la santé , les risques d'allergies alimentaires , une résistance accrue aux antibiotiques .
Bref , nous devons controler tous ces paramètres avant developpement et utilisation massive.
Les OGM de deuxième génération sont plus favorables aux pays pauvres et aux consommateurs (je rappelle que les OGM de première génération (maïs) permettait de limiter les insecticides et herbicides)
Ils concernent également les plantes capables de résister à la sécheresse , au gel , avec un mûrissement retardé ,de meilleures qualités nutritives (riches en oméga 3, riz doré riche en vitamine A ) . Ils peuvent même être utilisé en médecine (OGM vaccins)
Mais attention ! avant le développement massif , il faut renforcer les systèmes de vigilance , et être sur que cela ne va pas être nocif pour la santé et pour la planète.Pour cela les études ne doivent pas être faits par les marchands de graines , mais par des scientifiques indépendants.
De plus , la traçabilité par l'étiquetage est impératif.
Savz-vous que le maïs résulte d'un croisement génétique réalisé il y a 10000 ans entre des épis de son ancêtre : le téosinte!